PAROLES NAZI :
T’es contre le mariage pour tous, t’es un nazi
Allergique au couscous, t’es un nazi
Si tu prétends que Napoléon, St Louis
Louis 14 ou Clovis… étaient blancs, t’es un nazi
Si tu sais lire entre les lignes, t’es un nazi
Et si t’admires Céline, t’es un nazi
T’as pas le bout coupé, de plus t’as le toupet
De réciter mes couplets, t’es un nazi
Si parfois ton épaule te gratte, t’es un nazi
Tu t’fous d’la gueule des démocrates, t’es un nazi
Si à Barack tu préfères Vladimir, et souhaites voir l’une de
Ses bombinettes vitrifier des émirs, t’es un nazi
J’te l’dis t’es qu’un nazi,
Et pour t’soigner on va t’interner dans un asile
J’ai la formule magique, pour t’empêcher d’agir
T’es ma salope ou un nazi
J’agite mes poings godwin dans le vent
Trollant face à l’ écran j’les retiens de rouvrir les camps
C’est trop facile pour ces fragiles rien n’est plus vexant
Que de se faire traiter de nazi
J’vois des nazis partout, ces babtous me poussent à bout
J’suis sur qu’aucun d’entre eux n’est Charlie
J’rêve d’un fringant tamoul, devenir son Vincent Mc Doom
Qu’il laisse mes orifices en charpie
Si t’es pas de gauche t’es un nazi
Tu trouves Eva Jolie moche, t’es un nazi
Tu crois en l’existence des races, t’es un nazi
Si tu veux pas m’lâcher ta place, t’es un nazi
Nazi nazi, c’est tout ce que j’arrive à dire
Imitant les poufs du paf qu’ouvertement j’admire
J’aspire à, détrôner le bien
Et je n’ai qu’deux syllabes à manier pour qu’à mes pieds rampent ces chiens
J’suis vraiment trop malin, assassine d’un mot
Je sais oindre les rondelles de vaseline comme un pro quoi ? tu paies trop d’impôts,
Tu veux qu’j’ai l’gamos d’un pauvre
Sale pute, lâche les euros putain d’nazis
Si t’es pas juif, t’es un nazi
Et si tu l’es c’est l’même tarif, enfin quasi
Tu joues l’rebelle, j’vais t’assagir
En cousant sur ta veste une croix nazi
En France y a qu’des nazis
Des amériques jusqu’en Asie
Partout, y a qu’des nazis
Nazi nazi nazi nazi
J’vois des nazis partout, ces babtous me poussent à bout
J’suis sur qu’aucun d’entre eux n’est Charlie
J’rêve d’un fringant tamoul, devenir son Vincent Mc Doom
Qu’il laisse mes orifices en charpie
J’agite mes poings godwin dans le vent
Trollant face à l’ écran j’les retiens de rouvrir les camps
C’est trop facile pour ces fragiles rien n’est plus vexant
Que de se faire traiter de nazi
Tous ces nazis faut les gazer puis les brûler
Ramasser tous leurs livres afin d alimenter le bûcher
Tout effacer, et là enfin on sera seuls
La tolérance inculquée à grands coups d’pieds dans la gueule